Rencontre avec les maires et Cissé Bacongo : « La liste des 176 Zones à risque comporte des zones qui ne sont plus à risque notamment Anono » (Cissé Bacongo)... « Le ministre gouverneur que je suis n’ira jamais sur un terrain qui n´est pas le sien et il n´y aura jamais de conflit entre nous » (Bacongo). Voir le lien : https://abidjan.district.ci/fichiers/LISTES-DES-ZONES-A-RISQUES-Synthese.pdf   ◊    « Les sites à risques ne sont pas des sites à déguerpir, à démolir, il s´agit des sites sur lesquels se trouvent un risque d’inondation, d´éboulement(...) Il s´agit de régler des soucis sur ces sites» (Cissé Bacongo)… Côte d’Ivoire/Projet d´Aménagement des Quartiers Restructurés d´Abidjan (PAQRA): « Aucun décaissement n’a été fait depuis deux ans que les accords ont été signés » ( Conseil des Ministres). Voir le lien : https://abidjan.district.ci/fichiers/LISTES-DES-ZONES-A-RISQUES-Synthese.pdf    ◊   
DEPECHES

Politique Ezaley et son directeur de campagne adjoint auditionnés par la police, puis relaxés

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Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le maire sortant de Bassam, Georges Ezaley et son directeur de campagne Adama Kamagaté, ont été auditionnés mardi par la police, à Abidjan, à la suite des troubles post-électoraux constatés dans la cité balnéaire, selon son entourage.

MM. Ezaley et Adama Kamagaté ont été entendus à « la direction générale de la police », a rapporté une source proche du maire sortant, qui selon les résultats de la Commission électorale indépendante (CEI), a perdu l’élection des conseillers municipaux du 13 octobre 2018.

Interpellés entre 9h et 10h (GMT), leurs deux hommes politiques ont été auditionnés puis relaxés aux environs de 19h30, a précisé cette même source. Et ce, après les manifestants de leurs partisans protestant contre la victoire de son principal rival, Jean Louis Moulot.

M. Ezaley dénonce des fraudes sur le scrutin. Dans la matinée, le secrétaire exécutif chargé de l’information, de la communication et de la propagande du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, ex-allié de la coalition au pouvoir), Jean-Louis Billon, a dénoncé des « falsifications de procès verbaux et inversion de résultats » lors des élections locales.

La CEI a été à l’occasion des élections municipales et régionales couplées du 13 octobre 2018, mise en cause comme dépourvue d’impartialité. Selon Jean-Louis Billon ces joutes électorales ont « montré que la réforme s’avère plus qu’urgente » en vue de la mise en place d’une nouvelle Commission électorale.

AP/ls/APA



31. Oct, 2018