Rencontre avec les maires et Cissé Bacongo : « La liste des 176 Zones à risque comporte des zones qui ne sont plus à risque notamment Anono » (Cissé Bacongo)... « Le ministre gouverneur que je suis n’ira jamais sur un terrain qui n´est pas le sien et il n´y aura jamais de conflit entre nous » (Bacongo). Voir le lien : https://abidjan.district.ci/fichiers/LISTES-DES-ZONES-A-RISQUES-Synthese.pdf   ◊    « Les sites à risques ne sont pas des sites à déguerpir, à démolir, il s´agit des sites sur lesquels se trouvent un risque d’inondation, d´éboulement(...) Il s´agit de régler des soucis sur ces sites» (Cissé Bacongo)… Côte d’Ivoire/Projet d´Aménagement des Quartiers Restructurés d´Abidjan (PAQRA): « Aucun décaissement n’a été fait depuis deux ans que les accords ont été signés » ( Conseil des Ministres). Voir le lien : https://abidjan.district.ci/fichiers/LISTES-DES-ZONES-A-RISQUES-Synthese.pdf    ◊   
DEPECHES

MUSIQUE Aujourd’hui, l’ivoirien connaît la différence entre la stabilité et la guerre (Tiken Jah)

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Le célèbre reggaeman ivoirien Tiken Jah Fakoly a estimé dans la nuit de vendredi à samedi qu’aujourd’hui, l’ivoirien connaît la différence entre la stabilité et la guerre, appelant dans la foulée les ivoiriens à l’unité afin que le pays ne retombe plus dans la crise militaro-politique.

Nous pensons qu’il est temps aujourd’hui que les ivoiriens soient unis. Il est temps qu’on ne retombe pas dans la même situation. Je crois qu’aujourd’hui l’ivoirien connaît la différence entre la stabilité et la guerre.», a souligné Tiken Jah lors d’un concert gratuit à la place du carnaval de Bouaké, la deuxième ville ivoirienne dans le Centre-nord du pays.

« Nous devons tenir ce pays. Nous devons tout faire pour réserver un pays en paix et un pays stable à nos enfants et à nos petits enfants », a poursuivi l’artiste, selon lui, quel que soit ce qui se passe, les ivoiriens doivent rester ensemble.

«Je suis content d’offrir ce concert gratuit à Bouaké parce que depuis 2007 on ne s’était pas encore revu. Nous devons avancer dans l’unité. Quand il n’y a pas de stabilité, tu ne peux même pas sortir pour aller chercher du travail. C’est pourquoi, ivoirien du Sud, du Nord, de l’Est, de l’Ouest, nous devons tout faire pour tenir ce pays. Il n’est plus question de retomber dans les mêmes choses», a-t-il insisté.

De l’avis de Tiken Jah, la « meilleure manière » de rendre hommage aux 3000 morts de la crise postélectorale ivoirienne de 2010-2011, « c’est de faire en sorte que la Côte d’Ivoire ne retombe pas encore» en crise.

Avant ce giga concert à Bouaké où il a égayé des milliers de mélomanes, Tiken Jah a fait le show le 1er janvier dernier avec ses fans d’Abobo, une commune populaire au Nord d’Abidjan.

LB/ls/APA



06. Jan, 2020